mercredi 28 novembre 2012

Le Tanger avec les tangérois



Tanger, la médina et ses coupoles
Je vivais Tanger depuis maintenant quatre jours. Les appels à la prière ne me réveillaient plus le matin. 


Rue Siaghrine
Entre mes missions pour me quérir d'une carte SIM et d'un forfait Internet, mes visites des riads de la médina et mes excursions dans la nouvelle ville à la recherche d'une pile pour mon Galaxy S3 (après la France et l'Espagne, j'ai finalement trouvé la chose dans une boutique tenue par les Indiens à Tanger), je flânais simplement sur la rue Siaghrine, près du petit Socco, avec Hisham, Khalid et les autres commerçants. Comme à l'époque de mon terrain, mais sans l'enregistreuse ni questionnaires.


De l'intérieur de la Kasbah
Le fait que le français est la deuxième langue parlée du Maroc me permet d'aborder différents sujets aussi simples - mais combien contrastants à chez nous - que le salaire, la vie de couple et la religion.


La kasbah
Ce fut l'occasion aussi de leur faire goûter - difficilement - le beurre et le sirop d'érable en prenant soin de leur préciser qu'il n'y avait pas d'alcool à l'intérieur...

Avec beaucoup d'efforts, j'ai également retrouvé Zouhaïr, mon informateur clé lors de ma recherche anthropologique. 


Zouhaïr et moi, à son garage
Jadis passionné de voiture, il a désormais son propre garage et une famille. Nous devons nous revoir - inch'Allah -lors de mon retour à Tanger, peu avant mon départ vers Amsterdam et le Québec.

En live, bouffe de rue dans le restaurant qui rend heureux, négociation de contrefaçons et dégustation difficile de beurre d'érable :







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