Les jobbeurs amateurs de rénos écoresponsables ?
On pourrait dire que les jobbeurs amateurs ont tout appris sur le tas.
La démolition s’est faite en montagnes russes, les plans en 1000 variantes et
l’échéancier a vite foutu le camp.
Avaient-ils prévus prendre aussi soin de
l’environnement?! Oui... ils y ont pensé sur le tas! D'ailleurs, la gestion des déchets de construction est
l’un des moyens les plus efficaces de réduire son empreinte écologique :
il est possible
de diminuer
d’environ 43 tonnes les émissions de GES attribuables aux matières résiduelles
d’un tel chantier de rénovation.
Toutefois, amateurs que nous sommes, notre rénovation ne nous a pas permis d’obtenir des points pour la certification Rénovation Écohabitation.
Un tas, seulement pour la cuisine |
Pour les rebuts (plâtres, tites lattes, gypse, bois), nous
avons d’abord tenté la cueillette des ordures (le bord du chemin) et avons vite
compris l’utilité des sacs
à ordures pour entrepreneurs d’épaisseur 3 MIL! Mais même avec deux cueillettes par
semaine, à coup de 20 sacs la fois, nous peinions à disposer des traces du
passé.
Direction : l'écocentre |
Un tas en formation dans le salon |
Reste qu'une chance que la gestion des cochonneries, le ti-balais, la mope
2 fois par jour et l’ÉNORME couche de poussière vicieuse qui est entrée dans les
moindre recoins de la maison n'étaient pas planifiés… car on aurait jamais eu
de chantier !
Pour des épisodes de poussière, si vous n'avez pas vus les deux vidéos suivants, ils sont assez convaincants :
Pour des épisodes de poussière, si vous n'avez pas vus les deux vidéos suivants, ils sont assez convaincants :
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