Le port de Palamós au couché du soleil |
Toutefois, mon vélo en n'avait pas décidé ainsi. Peut-être encore frustré de la patch que je lui avait colléE la veille à son pneumatique arrière, il décida qu'il en avait assez de rouler avec une roue déchaussée. Cela m'obligea à ôter mes freins arrière pour cessez le frottement sur ma roue.
Toutefois, le timing était vraiment mal choisi : je devais passer 40 km sur une route dangereuse où, d'un côté il a la mer à 1000 mètres plus bas et de l'autre, il y a des risques d'éboulements. Ajoutons à cela le "simple" fait que la route suit les méandres de la montagne. Le rythme est le suivant : 3 à 5 km de montée qui mènent à un village et 3 à 5 km de descente.
Malgré les efforts, les blasphèmes et les remises en question de ma présence dans ces lieux, voire sur la terre (!), le paysage qui prenait forme devant moi était unique.
L'oranger du roc et du sable, le vert des arbres et les bleus de la mer salée restent encore fixés dans ma mémoire "vive".
L'oranger du roc et du sable, le vert des arbres et les bleus de la mer salée restent encore fixés dans ma mémoire "vive".
La Costa Brava, done!
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